Complices comme des frères, ces petits bolides avaient de l’énergie à revendre.
Nous sortions à peine d’une magnifique rencontre avec une autre frimousse de Kochi en Inde, lorsque ces deux loustics ont croisés notre chemin.
Sourires faciles et regards malicieux, ils simulaient une partie de cricket en pleine rue. Prenant des positions de «Power Rangers, force jaune», ils se défoulaient gaiement en se lançant la balle, quand cette dernière failli m’éborgner.
Loin d’être intimidé, l’un d’entre eux s’excusa à sa manière, d’un sourire coquin. Je lui répondis de la même façon, en lui proposant de tester ses qualités de receveur.
Geste technique réussi et nouveau sourire en cadeau.
Ces garnements nous ont ensuite accompagné quelques minutes avec leur hyperactivité communicative.
Quand soudain, mi-temps, ils s’arrêtent, et n’ont visiblement pas le droit d’aller plus loin. A leur demande, nous faisons quelques photos ensemble.
Hop ! C’est dans la boîte. Sourires immortalisés sur le papier et dans nos mémoires.
